L’objectif est ainsi d’apporter des réponses concrètes aux besoins de la recherche, des patients et de la société, de façon proactive, agile et en complémentarité avec les autres acteurs nationaux de l’écosystème français de la recherche biomédicale (organismes publics de recherche et d’enseignement supérieur comme l’Inserm, le CNRS ou les universités, agences publiques de financement, autres acteurs du secteur caritatif…).

Très concrètement, le Comité participe à l’évaluation de la pertinence des actions scientifiques menées par la FRM et contribue à définir les axes thématiques prioritaires (comme les maladies neurodégénératives, la santé et l’environnement, la médecine réparatrice, les virus émergents…), car correspondant à des besoins médicaux non couverts, à des besoins de financement ou de structuration de la recherche et pour lesquels l’impact et la visibilité de la FRM seront majeurs.

Présidé par Hervé Chneiweiss depuis décembre 2019, le Comité de la recherche est composé de 15 membres bénévoles, scientifiques engagés auprès de la FRM (par exemple, les présidents du Conseil scientifique deviennent membres du Comité à l’issue de leur mandat). Il travaille en coordination avec le Conseil scientifique et avec la directrice scientifique de la FRM. Jouant un rôle consultatif, il transmet ses recommandations au Conseil de surveillance.

Le Comité de la recherche joue un rôle crucial en identifiant les domaines de recherche prioritaires et en fournissant des recommandations stratégiques pour maximiser l’impact de la FRM. En collaborant avec des organismes de recherche de renom comme l’Inserm et le CNRS, ainsi qu’avec des universités et des agences de financement, le Comité assure que la FRM reste à la pointe de la recherche biomédicale en France.

Le Comité de la recherche de la FRM est ainsi une instance essentielle pour la communauté scientifique et les initiatives de santé publique en France. En mettant l’accent sur la collaboration interdisciplinaire et l’évaluation rigoureuse des actions scientifiques, il contribue de manière significative à l’avancement de la recherche médicale et à l’amélioration de la santé publique.