Neurosciences : des infrarouges pour stabiliser la maladie de Parkinson
04 février 2025

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Une des caractéristiques de la maladie de Parkinson est l’accumulation dans le cerveau de protéines toxiques pour les neurones, ce qui conduit à leur dégénérescence.
Une équipe de l’Institut Pasteur montre, pour la première fois, qu’il existe des connexions fonctionnelles entre les neurones (en bas de l’image) et les cellules gliales (en haut de l’image), principales cellules immunitaires du cerveau. La protéine toxique alphasynucléine (en rouge sur l’image) circule par des nanotubes reliant ces deux types de cellules.
Les chercheurs révèlent également que c’est via ces nanotubes que les cellules gliales transfèrent des mitochondries aux neurones en mauvaise santé, comme pour les sauver.
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Source : Cell Death & Diseases, 18 mai 2023
La maladie de Parkinson est la deuxième pathologie neurodégénérative la plus fréquente après la maladie d’Alzheimer. C’est aussi la deuxième cause de handicap moteur chez l’adulte, après les accidents vasculaires cérébraux.
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