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Un quart des cancers pédiatriques sont dits « de haut risque » : les rechutes sont fréquentes, notamment parce que les tumeurs développent des résistances aux traitements. À l'Institut Curie (Paris), l'étude MICCHADO a été lancée en 2017 justement pour mieux comprendre ces phénomènes grâce à une analyse moléculaire et immunologique poussée de cellules cancéreuses avant, pendant et après les traitements.

C'est la première fois qu'une telle étude est menée chez des enfants et des adolescents. Elle associe 30 centres donc opédiatrie en France et s'étale sur six ans.

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À ce jour, aucune étude scientifique solide n'a démontré chez l'être humain l'intérêt du jeûne ou d'un régime restrictif (sans sucre, sans lactose et/ou sans gluten) sur l'efficacité des traitements anticancers.

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Il existe des tumeurs qui ne sont pas ou très peu radiosensibles. Différents mécanismes peuvent être en cause : les cellules cancéreuses peuvent par exemple être dotées de gènes qui réparent très efficacement les dommages à l'ADN causés par les rayons.