Développer de nouvelles thérapies contre le cancer de l'ovaire
05 février 2025
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Un mécanisme expliquant les rejets de greffe d'organe vient d'être mis au jour par des chercheurs du Centre international de recherche en infectiologie de Lyon et de l'hôpital Édouard-Herriot (HCL, Lyon).
Contrairement à ce que l'on pensait jusqu'à présent, les anticorps ne sont pas les seuls acteurs à enclencher une microinflammation à l'origine de la perte du greffon. Dans la moitié des cas de greffes rénales étudiés, les cellules immunitaires NK (pour « natural killer») seraient à l'origine du rejet du greffon.
C'est le cas sur cette image microscopique : on y voit les cellules NK (en marron) agressant les cellules d'un greffon (en bleu).
Quelques chiffres :
5 897 greffes ont été réalisées en France en 2019, tous organes confondus. Dans plus de 60 % des cas, il s'agit de greffes rénales. Le rejet chronique du greffon est la principale cause d'échec des transplantations.
Source : Agence de la biomédecine
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